Jour 2

Pour éviter les ennuis d'hennissements incessants, nous mettons Iroy avec Wéchou quand nous sortons Vriag du pré.



Une fois Vriag dans le rond, Didier le met au boulot tout de suite, ainsi nous ne lui permettons pas de penser à autre chose qu'à nous ; et cela fonctionne, il n'a pas henni une seule fois !






Il fait preuve d'un petit caractère joueur, faisant des petits bruits et gigotements quand Didier le sollicite ; il est devenu très fin et part dès qu'on lui demande, ne broute plus, et chasse les hanches en liberté tout en finesse.




Il court donc à peine 2mn, et se met au travail.





Didier revoit les exercices de la veille.



En insistant davantage sur le sac plastique, c'était la chose la moins acquise hier.



Aujourd'hui, Vriag est bien plus détendu : VIDEO.



Puis, Didier revoit le tapis, et apprend à Vriag à reculer, car c'est son point faible : il est un peu croisé avec un bulldozer !



Il apprend qu'il ne doit pas entrer dans notre espace, mais n'est pas rancunier et se prête volontiers aux câlins...



Didier le renvoie courir 2mn avec la selle sur le dos.





Et après ces quelques révisions, nous sortons en extérieur. Nous commençons à pied pour voir comment le bonhomme réagit à l'environnement.



L'occasion aussi de lui apprendre l'immobilité.



Puis je monte et Didier tient la longe.




Dans la civilisation, je descends. Et après une trentaine de minutes de balade pendant lesquelles nous avons beaucoup travaillé les arrêts et démarrages au pas, nous faisons le dernier quart d'heure en liberté.



Vriag veut suivre Didier, c'est l'occasion de travailler la direction !






Le bonhomme devient de plus en plus indépendant, accepte de marcher seul devant, s'arrête et part au pas quand je serre un peu les jambes. Une très bonne séance pour ce très bon poney au caractère sûr et à l'allure très franche.




Preuve qu'il n'était pas trop stressé : quand je descends, il fait pipi !




Pour le retour au pré, Didier en profite pour retravailler le respect à pied, car c'est finalement ce qui cloche le plus pour le bonhomme.




Retour avec les copains.

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